2.2 Les pires souvenirs de vacances

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LES DIX PIRES SOUVENIRS DE VACANCES | |
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Qui n'a pas le souvenir des cahiers de vacances pénibles à faire, des "mets ton bob" hurlés sur la plage de la Grande Motte, ou encore des interminables balades en moyenne montagne pour "prendre l'air"? Personne! Metronews retrace pour vous les pires de nos souvenirs d'enfant en vacances. Les cahiers de vacances Passeport: pièce d'identité qui permet de voyager à l'étranger. Pour nombre d'enfants, il signifiait aussi un instrument de torture. En effet, les devoirs de vacances demeurent un souvenir douloureux pour la plupart d'entre nous. Avant notre départ, les parents se chargeaient, sans faute, d’acheter en secret le cahier de vacances. Pas de négociation possible, hélas ! Nous avions beau nous acharner à les convaincre, rien n’y faisait, nous n’avions plus qu’à faire cette maudite page qui nous permettrait d'aller nous baigner. Les cahiers de vacances étaient considérés comme un calvaire par les plus jeunes mais détrompez-vous, ils reviennent à la mode! A présent, les éditeurs proposent des cahiers ludiques à thèmes pour les adultes... comme un air de revanche ! Le douloureux protocole de baignade Dès que l’on finissait de manger, on entendait cette fameuse phrase : "Non, on sort de table, tu attends au moins deux heures". Elle a alors cassé l'élan de plus d'un d'entre nous cette phrase maudite! La digestion, cette étape sacrée chez les adultes avait le don de nous exaspérer. Impatients de se jeter à l'eau, on trépignait pendant que les parents tentaient de nous retenir tant bien que mal. Toutes les techniques étaient bonnes : "Va faire la sieste !", "Mets de la crème !" ou encore "On fait un jeu de carte ?". Autre étape inévitable avant le grand plouf: l'étalage de la crème solaire blanche, collante, qui garantissait un bronzage plus que douteux. "Mets ton bob !" Qui n'a pas eu, à cette époque-là, nombre d'accessoires ridicules à la plage ? Voici une petite liste non exhaustive de ces gadgets pas très esthétiques. La palme revient au fameux bob. Rose, jaune ou bleu à fleurs, il était légitimement perçu comme une humiliation. Aussitôt que nos parents nous tournaient le dos, on en profitait pour le faire glisser innocemment par terre. Mais aussitôt jeté, aussitôt remis. A croire que les parents en voulaient à leurs enfants. Sans compter qu’à ce magnifique couvre-chef s'ajoutaient les lunettes de soleil aux couleurs plus qu'aléatoires, le maillot de bain ridicule et les chaussures en plastique qui faisaient « flop flop »... Pour la fashion week, on s’en passera! La randonnée qui n'en finissait pas "Maman, j'ai mal aux pieds". Après 10 minutes de marche, les hostilités commençaient. Que ce soit la visite de la ville ou une randonnée, cette étape était inévitable : on râlait. Du côté des parents, on sentait que ça allait être poussif. Chacun prenait sur soi. Mais quelques minutes après, c'était reparti pour de nouvelles lamentations. Alors on trouvait un compromis: eh oui! chaque fois qu’on sortait en visite, on finissait par avoir la promesse d'une bonne glace à l'arrivée. Le 104è musée de la journée Ah...les musées ! Incontournables pour les parents, coup de grâce pour nous. Je me souviens clairement qu’à ce moment-là, cet éternel clivage finissait bien souvent en plaintes, voire pleurs. C'était pénible et il faut bien se l'avouer : le musée de la morue séchée en Norvège, euh, voilà... De plus, les explications du guide dans la langue du pays n'aidaient pas vraiment... Bref, l’ennui total! Mais bon l'entrée était gratuite et puis "on se cultive ! ". Le cadeau souvenir qui ne finirait jamais dans la valise Malgré notre petite taille, on se hissait sur la pointe des pieds pour admirer les étalages destinés aux touristes. On ne manquait pas de pleurnicher pour ce magnifique bracelet de coquillages, ce tee-shirt qui ferait, plus tard, fureur à la rentrée ou ces petites tresses que "toutes mes copines ont". Après de longues minutes de négociations, et parfois de crises de larmes, les parents finissaient par céder. La photo souvenir Avant même de lire, vous savez de quelle photo nous sommes en train de parler. Oui oui, c'est bien elle, La photo que maman voulait prendre avant de partir parce que "ça fait des souvenirs pour mamie". Cette photo que l'on refaisait une bonne dizaine de fois parce que, au moment où on la prenait : "oh! Tu as fermé les yeux", "oh! Quelqu'un est passé devant", "oh! Vous êtes à contre-jour", "oh! Arrête de faire la tête", autant de motifs pour refaire cette mythique maudite photo. En attendant deprendre la bonne, dites « Patate! ». Être puni en vacances Tout ça pour avoir embêté son frangin, ou avoir désobéi à papa et maman. Punis de baignade, sur la serviette de maman, durant toute l'après-midi, condamnés à regarder, pendant ce temps, les autres s'amuser. Deux options s'offraient alors: les jeux de cartes ou la lecture. Le temps de se lasser et les parents cédaient. « On ne recommencera pas la prochaine fois... Ou si! » Les voyages en voiture La voiture est bouclée, les enfants installés, direction la mer ! On commençait par s'endormir, mais très vite, le culte "Quand est-ce qu'on arrive ?" se répétait en boucle, encore plus que le CD qu'on écoutait pour la troisième fois. Papa conduisait en écoutant la radio qui racontait la même chose tous les quarts d'heure pendant que maman se chargeait de trouver des subterfuges. Gâteaux, bonbons, jeux en tous genres étaient les bienvenus pour faire diversion jusqu’à ce qu’on arrive à destination. Les méduses Elles infestaient les plages, toujours plus terrorisantes et plus nombreuses à mesure que les années passaient : les méduses ! Bêtes noires des vacances à la mer, leurs piqûres traumatisaient parents et enfants. " Il n'y en avait pas autant l'an dernier" ou encore "il paraît qu'il faut faire pipi dessus pour apaiser la douleur". En conclusion, le résultat était le même : interdiction de se baigner. Source: Metronews.fr |

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Lisez le texte puis observez et analysez les valeurs des expressions temporelles marquées en gras. Expriment-elles l’antériorité (A), la simultanéité (S) ou la postériorité (P) ? Vous pouvez utiliser le tableau théorique pour vous aider. |
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